C’est le meilleur spot pour se baigner à Marseille

Quand on pense à se baigner à Marseille, on imagine tout de suite l’eau turquoise, les criques cachées et le chant des cigales en fond sonore. Pas besoin de partir à Bali ou aux Seychelles : tout est déjà là, sous nos yeux. Et si tu cherches le meilleur spot pour plonger la tête la première, on a ce qu’il te faut. Pas un plan cliché sur la plage bondée, mais bien un coin magique au cœur du parc national des Calanques. Direction les calanques : une autre façon de découvrir Marseille On te le dit tout de suite : ici, pas de sable, pas de transats. Juste la roche brute, des falaises blanches et une mer d’un bleu hypnotisant. Marseille, ce n’est pas que le Vieux-Port et le pastis. C’est aussi des criques secrètes, accessibles à pied ou en kayak, où tu peux te rafraîchir loin de la foule. Et ce fameux spot pour se baigner à Marseille, il se trouve entre mer et garrigue, là où les sentiers sentent le pin chauffé au soleil. Bienvenue dans la calanque de Sormiou, un bijou à quelques kilomètres seulement du centre-ville. Pourquoi Sormiou fait mouche à chaque fois ? Déjà, elle est accessible. Pas besoin d’être randonneur pro ni de vendre un rein pour louer un bateau. En saison, tu peux même y aller en navette depuis le rond-point du Prado, ou à pied depuis le parking des Baumettes. Ensuite, l’eau. Limpide. Fraîche. Peu profonde près du bord, mais parfaite pour la nage plus loin. Les poissons ? Ils sont là aussi, comme à l’aquarium, mais en vrai. Et puis l’ambiance. Ce n’est pas une plage classique. Ici, les gens lisent, papotent, plongent depuis les rochers. Pas de musique à fond, pas de ballon dans la tête. Juste le clapotis de l’eau et le soleil qui tape gentiment. Que faire à part se baigner ? Sormiou, c’est aussi un spot de rando, de grimpe et de kayak. Tu peux arriver le matin, faire une balade dans le massif, puis piquer une tête à midi. Ou l’inverse. Plusieurs sentiers partent de la calanque et offrent des points de vue de dingue. Et si tu as faim ? Le petit resto “Le Château” au bord de l’eau propose poissons grillés, panisses et boissons fraîches. C’est pas donné, mais le cadre vaut le détour. Sinon, pique-nique maison. Mais attention : laisse zéro déchet, ici on respecte la nature.   Voir cette publication sur Instagram   Une publication partagée par LIEU INSOLITE (@lieu.insolite) Quelques conseils pour profiter sans galère Prévois des chaussures de marche : même si la rando est courte, ça grimpe un peu. Arrive tôt : en été, c’est vite plein. Et l’accès en voiture est parfois fermé. Prends de l’eau : y’a pas de supermarché dans les calanques. Respecte la faune et la flore : pas de feu, pas de cigarette, pas de déchets. Et surtout, n’oublie pas que tu es dans un parc national. Ici, la nature est reine. On vient pour se ressourcer, pas pour faire la fête. D’autres calanques à explorer si tu en redemandes Bon, Sormiou c’est top, mais ce n’est pas le seul coin où se baigner à Marseille. Calanque de Morgiou : plus rustique, mais tout aussi belle. Calanque d’En-Vau : plus difficile d’accès, mais incroyable (et souvent prise d’assaut). Calanque de Callelongue : la plus sauvage, avec un esprit bout du monde. Chacune a son charme. L’idéal ? Y aller plusieurs fois dans l’été, selon ton humeur du jour : chill, aventure, solitude ou apéro au soleil couchant. Ce que tu dois retenir Si tu cherches le meilleur spot pour te rafraîchir dans les environs de Marseille, sans te retrouver collé-serré entre deux serviettes, fonce à Sormiou. Eau cristalline, ambiance détendue, cadre de rêve. Tu marches un peu, tu transpires un peu, mais tu oublies tout dès que tu plonges. Un vrai bon plan pour déconnecter, sans quitter la ville. Et oui, c’est toujours Marseille. Informations pratiques Date : accès conseillé entre mai et septembre. Lieu : Calanque de Sormiou – Parc national des Calanques, 13009 Marseille. Accès : à pied ou en voiture (accès motorisé réglementé de juin à septembre). Horaires : 8h – 19h (variable selon la saison). Tarif : gratuit (parking payant selon les périodes). Lien réservation navette : https://www.calanques-parcnational.fr N’oublie pas ton maillot, tes lunettes, et surtout… ta bouteille d’eau.Allez, à l’eau ! D’autres article ICI

C’est le spot le plus incroyable à moins d’1h de Marseille

Le spot le plus incroyable à moins d’1h de Marseille ? Direction le Parc du Mugel à La Ciotat Besoin d’air, de vue mer et de nature sans tracer 300 km ? Bonne nouvelle : à moins d’une heure de Marseille, se cache un coin aussi beau qu’un fond d’écran Windows. Ce spot incroyable, c’est le Parc du Mugel, à La Ciotat. On te raconte pourquoi c’est un passage obligé si tu veux te déconnecter sans partir à l’autre bout du monde. Un parc entre mer et jungle méditerranéenne À première vue, on pourrait croire que le Parc du Mugel, c’est juste un jardin sympa en bord de mer. Mais non. Ce spot naturel en pleine Ciotat, c’est une vraie pépite. Entre les calanques, les jardins exotiques, la bambouseraie, les cactus et les panoramas à couper le souffle (mais pas trop non plus, t’inquiète), il y a de quoi passer une journée bien remplie. Protégé par le fameux Bec de l’Aigle, un gros rocher qui ressemble un peu à un décor de film Marvel, le parc profite d’un microclimat unique. Résultat : une flore qu’on ne trouve pas partout dans le coin. Même les plantes tropicales y posent leurs valises. Des sentiers pour tous les mollets Tu veux juste flâner dans les allées botaniques ou bien grimper pour avoir une vue panoramique sur la mer ? Les deux sont possibles ici. Le parc est traversé par plusieurs sentiers balisés. Certains te mèneront au belvédère, à 82 mètres au-dessus de la mer. Pas besoin d’être un trail-runner pour y monter, mais prévois quand même des baskets si tu veux éviter de glisser en tongs. Sur le chemin, tu croiseras des coins ombragés parfaits pour une pause pique-nique (avec vue svp), des cabanons abandonnés, et même une aire de jeux si tu viens avec les petits. Deux anses pour se poser tranquille Qui dit parc en bord de mer dit aussi… plages. Et pas n’importe lesquelles. Le spot incroyable du Mugel te propose deux criques : l’Anse du Petit Mugel (parfaite pour un bain au calme) et l’Anse du Grand Mugel, un peu plus fréquentée mais avec une douche et un petit resto à proximité. Les deux sont des plages de galets, donc pense aux sandales si tu veux éviter de marcher comme un hérisson. L’eau est turquoise, la vue sur l’île Verte est magique, et si tu tends l’oreille, tu peux même entendre les cigales en stéréo. Bref, c’est Marseille… sans les klaxons. Une biodiversité étonnante à deux pas de la ville Ce qui surprend, au Mugel, c’est la diversité. Tu peux passer de la garrigue méditerranéenne à un mini jardin tropical en quelques pas. Des chênes lièges, des lauriers roses, des fougères, des oiseaux du paradis… on est presque sur un tour du monde végétal en version express. Le parc a aussi son petit côté pédagogique avec le centre « Atelier Bleu », qui sensibilise à la protection du littoral. Idéal si tu veux briller en société avec des infos sur les espèces locales. Pause gourmande ou pique-nique maison ? Si tu veux jouer la carte chill total, tu peux manger au resto du Grand Mugel (attention, ce n’est pas gastronomique, mais le cadre est top). Sinon, l’option pique-nique sous les pins reste un grand classique, validée par les familles, les randonneurs et les fans de tranquillité. Le spot rêvé pour faire péter les stories Côté photos, tu ne seras pas déçu. Entre les panoramas sur la baie, les contrastes entre rochers rouges et mer turquoise, les fleurs tropicales et les sentiers escarpés, le Parc du Mugel, c’est le terrain de jeu parfait pour les amoureux d’Instagram ou les photographes du dimanche. Si tu cherches un spot incroyable à moins d’1h de Marseille, t’as trouvé. Comment y aller sans se perdre (ou râler) Le parc est situé à La Ciotat, à environ 45 minutes en voiture de Marseille, si le trafic ne fait pas des siennes. Un parking est dispo à proximité (mais il se remplit vite en été, donc vise tôt ou vise hors saison). Infos pratiques Lieu : Parc du Mugel, Avenue du Mugel, 13600 La Ciotat Accès : voiture (45 min depuis Marseille), ou train jusqu’à La Ciotat + 20 min à pied Horaires : tous les jours de 8h à 19h (jusqu’à 20h en été) Tarif : gratuit Lien utile : www.laciotat.com/parc-du-mugel (site de l’office du tourisme) En résumé ? Si tu veux une parenthèse nature à deux pas de Marseille, sans prise de tête, avec des vues ouf (mais pas de foule), va faire un tour du côté du Parc du Mugel. Ce spot incroyable à moins d’une heure de Marseille mérite clairement sa place dans ton top 10 des sorties du week-end. Et en plus, c’est gratuit. Qui dit mieux ? D’autres articles : ICI

Cette plage corse turquoise est l’une des plus belles d’Europe

Une plage corse de dingue Pas besoin d’aller jusqu’aux Maldives pour voir de l’eau turquoise. Il suffit de mettre le cap sur la Corse. À quelques kilomètres de Porto-Vecchio, une plage corse attire chaque été voyageurs curieux, familles en quête de tranquillité, et amateurs de paysages de rêve. Elle ne paie pas de mine sur une carte, mais sur place, c’est une claque visuelle. Cette crique bien planquée fait partie des plus belles plages de Méditerranée – et certains osent dire d’Europe. Et tu sais le plus fou dans tout ça ? Elle est facile d’accès. Oui, tu peux poser ta serviette à 1h30 d’avion de Paris, sans faire exploser ton budget. Allez, direction Santa Giulia, l’une des perles du sud de l’île de Beauté. Oui, une plage corse, mais pas n’importe laquelle. Une plage corse… mais pas comme les autres Nichée entre mer et maquis, Santa Giulia coche toutes les cases. Le sable est blanc, l’eau a des reflets bleu clair dignes d’un fond d’écran Windows, et l’ambiance est calme. Très calme. Même en pleine saison, on peut encore trouver un petit coin tranquille pour bronzer sans jouer au Tetris avec sa serviette. Ce qui frappe, c’est la transparence de l’eau. On voit ses orteils à 2 mètres de profondeur. Bon, pas sûr que ce soit utile, mais c’est bluffant. On y nage comme dans une piscine naturelle, protégée par une longue langue de sable qui forme une sorte de lagon. Pas de vagues, pas de courants : les enfants peuvent barboter sans que les parents soient en alerte H24. Pourquoi cette plage attire autant ? La réponse tient en deux mots : beauté et accessibilité. Santa Giulia, c’est une plage corse parmi les plus connues, mais elle a gardé un côté nature. Elle n’est pas envahie d’immeubles ou de béton. On y accède facilement depuis Porto-Vecchio, en voiture ou à vélo. En haute saison, il vaut mieux arriver tôt. Les places de parking sont rares après 11h. Autre bonus : les commodités sont là sans gâcher le paysage. Quelques snacks, un club nautique, et des transats à louer (si t’es du genre à ne pas aimer le sable dans le maillot). On peut y passer la journée sans souci : baignade, paddle, sieste, apéro… et pourquoi pas tout en même temps. Des activités pour changer de la serviette Parce qu’on ne peut pas passer 6 heures d’affilée à regarder ses doigts fripés, il y a aussi des choses à faire autour. Paddle, kayak, snorkeling : l’eau est si claire qu’on croise des poissons rien qu’en mettant la tête sous l’eau. Pour les plus motivés, une balade dans le maquis alentour vaut le détour. Sentiers balisés, odeur d’immortelle, et vue sur la baie… Tu veux faire le malin sur Instagram ? Le spot est parfait. Et si tu veux explorer plus loin, la plage de Palombaggia est à seulement 15 minutes. Plus animée, plus touristique, mais aussi magnifique. Les deux se complètent bien pour un petit road trip à la journée. À qui s’adresse cette plage corse ? À peu près à tout le monde. Les couples y trouvent une ambiance romantique. Les familles apprécient la sécurité. Les voyageurs solo peuvent bronzer tranquille ou papoter au snack. Et les amateurs de photographie ? Ils ne savent plus où donner de l’objectif. Même hors saison, l’endroit garde son charme. Au printemps ou en septembre, on évite la foule. Et l’eau est toujours aussi belle. Conseils pour en profiter à fond Et si tu veux éviter les galères, mieux vaut réserver ton hébergement à l’avance. Les hôtels autour partent comme des petits pains en été. Infos pratiques Nos autres articles : ICI